Aucoeur de la forĂȘt, juste avant la nuit, 10 artistes crĂ©eront avec vous 2 soirĂ©es inĂ©dites La musique, le chant, la danse, le théùtre, la poĂ©sie, le conte, la suspension au trapĂšze et dans les arbres, les broderies monumentales et miniatures, pour oser, ensemble, la paix, le voyage, la joie et l'Ă©merveillement Avec Juliette Fabre, David Hopkins, Emmanuelle Le Diuzet,

Pourquoi l'eau de mer est-elle salĂ©e ? 000142 Alix, 5 ans, se demande pour la mer est salĂ©e. Si la mer est salĂ©e, ce n'est pas Ă  cause des pĂȘcheurs qui s'amusent Ă  renverser la saliĂšre dans l'eau. Pour comprendre, il faut remonter le temps avant mĂȘme l'Ă©poque des dinosaures, il y a 3,8 milliards d'annĂ©es quand les ocĂ©ans se sont formĂ©s. À cette Ă©poque, des pluies diluviennes se sont abattues sur notre planĂšte et au contact de l'eau les roches se sont dissoutes. Or, celles-ci Ă©taient salĂ©es. En ruisselant jusqu'Ă  la mer, les gouttes d'eau ont formĂ© des riviĂšres et des torrents qui ont charriĂ© les sels minĂ©raux contenus dans les roches. RĂ©sultat une accumulation d'eau salĂ©e. Mais niveau sel, toutes les mers et tous les ocĂ©ans ne se valent pas. Si vous vous baignez dans la mer baltique, au nord de l'Europe, vous aurez trĂšs peu de sel, 10 g/l. En revanche, dans la mer morte, au Proche-Orient, ça risque de piquer un peu, 260 g/l. La MĂ©diterranĂ©e, elle, est un tout petit plus salĂ©e que l'ocĂ©an Atlantique. Pourquoi la pluie n'est pas salĂ©eMais alors pourquoi la pluie, qui est en rĂ©alitĂ© de l'eau de mer qui s'est Ă©vaporĂ©e et nous retombe dessus, n'est-elle pas salĂ©e ? Simplement parce que l'eau s'Ă©vapore mais pas les cristaux de sel qui finissent par ĂȘtre absorbĂ©s par les fonds marins. Conclusion le niveau de sel et le niveau de l'eau restent constants car finalement les choses ne sont pas si mal faites. L’actualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă  votre compte RTL abonnez-vous Ă  la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien S’abonner Ă  la Newsletter RTL Info

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Conteschinois : Le rĂȘve de Tao (chapitre 1) Le rĂȘve de Tao (chapitre 2) Le rĂȘve de Tao (chapitre 3) VoilĂ  pourquoi l'eau de la mer est salĂ©e. Contes arabes : L'Ăąne et le boeuf Autres Contes : Contes populaires de Lorraine : Jean de la Noix. Contes de France : Le trĂ©sor de la souris. Contes japonais : Le singe et le crabe

Comme disait Alphonse Allais la mer est salĂ©e parce qu’il y a des morues dedant et si elle ne dĂ©borde pas, c’est parce que la providence, dans sa grande sagesse, y a placĂ© aussi des Ă©ponges, ça c’est pas dur c’est dans WikipĂ©dia ! Un autre racontais que des centaines de millier de cherubins pissĂšrent en coeur aprĂšs une joyeuse et mĂ©morable cuite, donnant ce gout salĂ© caractĂ©ristique. Avouez que le spectacle serait comique Ă  voir, puis l’eau devait ĂȘtre chaude, bien loin des 12 degrĂ©s Breton en plein mois de Juillet !!! Bon on va arrĂȘter de raconter des conneries parce qu’on a toujours pas la queue d’une bonne rĂ©ponse. La rĂ©ponse et simple et clair comme de l’eau pur, le sel contenu dans l’eau proviendrait en majeur partie de l’érosion des roches qui font le lit des ocĂ©ans, des mers et cours d’eau. Au contact de l’eau, certaine roches vont se dissoudre progressivement et saler la mer. On retrouve diffĂ©rent type de sel, dont principalement le chlorure de sodium celui qu’on utilise en cuisine, mais Ă©galement du calcium, du potassium et du magnĂ©sium. ça fait quand mĂȘme une sacrĂ© quantitĂ© d’eau pour si peu de roches Ă©rodĂ©es non ? Oui mais en fait faut voir que les ocĂ©ans ont quand mĂȘme 4 milliards d’annĂ©e et donc pendant ce laps de temps beeen ils en ont mangĂ© du caillou. Les mers sont plus rĂ©centes. La MĂ©diterranĂ©e par exemple a environ 50 millions d’annĂ©es, mais paradoxalement elle est plus chargĂ©e en sel que les ocĂ©ans parce que le phĂ©nomĂšne d’évaporation est plus important et que les cours d’eau qui s’y dĂ©versent chargent une quantitĂ© infime de sel Ă  chaque fois. Oui parce que le processus d’évaporation concerne uniquement l’eau, pas le sel, donc les niveaux s’accumulent avec le temps. En parlant d’accumulation vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ  demandĂ© comment buvait un poisson dans l’ocĂ©an ? Parce qu’il est de notoriĂ©tĂ© publique que boire de l’eau de mer est mauvais pour nous, mais en fait c’est mauvais pour tous les organismes vivants ! Les animaux de la famille des tĂ©lĂ©ostĂ©ens par exemple, comprenant 99,8% des espĂšces de poissons actuels, disposent au niveau des branchies de glande Ă  sel qui viennent purger le sang d’un excĂšs pouvant ĂȘtre nuisible Ă  l’organisme de l’animal, ainsi en excrĂ©tant une solution saline l’animal peut continuer d’absorber une eau saturĂ© en sel. Certains oiseau marins expulsent eux par leur narines une solution a concentration constante de sel de calcium et de potassium ayant pour effet de protĂ©ger Ă©galement l’animal des eaux salĂ©es ingĂ©rĂ©s en mĂȘme temps que leur proie. Pour aider tinyshot Ă  recracher tout le sel contenu sur Youtube, un petit like, allez ciao ! Le lien vers la vidĂ©o vers la chaine Youtube POURQUOI LA MER EST SALEE ? Tinyshot 8 – The Memphis

POURQUOILA MER EST SALÉE : GIRAUD,ROBERT: Amazon.ca: Books. Skip to main content.ca. Hello Select your address Books Hello, Sign in. Account & Lists Returns & Orders. Cart All. Best Sellers Prime New Releases Il Ă©tait une fois une mer dont l’eau Ă©tait douce. Mais un jour, une entreprise dĂ©cida de faire voyager une petite poule qui pond des Ɠufs salĂ©s dans un train passant dans un tunnel sous la mer. Sous la pression de l’eau, celui-ci se brisa. Mais la petite poule continua Ă  pondre car elle avait une tenue de plongĂ©e. Et c’est depuis ce jour que l’eau de la mer est salĂ©e. Ce contenu a Ă©tĂ© publiĂ© dans Cahier de l'Ă©crivain. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.
sucréesalée avec des notes de cacahouÚte. C'est une saveur que l'on retrouve principalement en Asie du Sud-Est, notamment dans la cuisine indonésienne, malaisienne, thaïlandaise, singapourienne et vietnamienne mais également dans la cuisine chinoise, surinamienne, africaine et néerlandaise. L'empreinte aromatique des épices satay
Pourquoi la mer est salĂ©e Pourquoi la mer est salĂ©e En ces temps-lĂ , il y a trĂšs longtemps, les hommes aimaient inventer des histoires pour expliquer ce qu’ils ne comprenaient pas. Voici ce qu’ils racontaient pour expliquer pourquoi l’eau de la mer est salĂ©e. 1 5 10 15 20 25 30 35 40 45 Il Ă©tait une fois, un pauvre bĂ»cheron. Un soir, alors qu’il prĂ©parait son dĂźner, un tout petit homme apparut et lui dit Je suis le nain Flic-Floc, j’ai faim. -Assieds-toi Ă  cĂŽtĂ© de moi, rĂ©pondit le bĂ»cheron, nous allons partager mon repas. » Ils se mirent Ă  table et vidĂšrent ensemble une marmite de soupe de lĂ©gumes bien chaude avec quelques saucisses grillĂ©es. A la fin du repas, le nain Flic-Floc dit au bĂ»cheron Tu es gĂ©nĂ©reux. Alors, je vais te faire un cadeau. Voici pour toi, un moulin magique. Il suffit de dire Petit moulin, il faut me moudre ceci et le moudre bien vite pour qu’il se mette Ă  moudre tout ce que tu dĂ©sires. Pour l’arrĂȘter, tu n’auras qu’à dire marala-matata-maliba. » Et le nain disparut trĂšs vite. Le bĂ»cheron posa le moulin devant sa vieille cabane et lui dit Petit moulin, il faut me moudre une belle maison et la moudre bien vite. » Et le petit moulin se mit Ă  moudre la plus jolie des maisons. Comme le moulin finissait de moudre la derniĂšre tuile du toit, le bĂ»cheron s’écria Marala-matata-maliba ! » et le moulin s’arrĂȘta. EmerveillĂ©, le bĂ»cheron porta le moulin dans le prĂ© et lui dit Petit moulin, il faut me moudre des animaux et les moudre bien vite. » Et le moulin se mit Ă  moudre des moutons, des chevaux et des cochons. Comme le petit moulin finissait de moudre la queue du dernier petit cochon, le bĂ»cheron s’écria Marala-matata-maliba ! » et le moulin s’arrĂȘta. Ensuite, le bĂ»cheron fit la mĂȘme chose avec les vĂȘtements chaussettes, pantalons, tricots, bonnets
Si bien qu’à la fin, il eut tout ce qu’il lui fallait. Alors, il rangea le moulin magique et n’y pensa plus. Un jour, le capitaine d’un grand bateau de pĂȘche arriva chez le bĂ»cheron. Il venait acheter le plus beau des arbres de la forĂȘt pour remplacer le mĂąt de son bateau cassĂ© par la tempĂȘte. Il voulait aussi de belles planches bien solides pour rĂ©parer la coque de son bateau qui s’était percĂ©e sur des rochers. Le bĂ»cheron l’écouta et lui dit Ne vous inquiĂ©tez pas. DĂšs demain tout sera prĂȘt ! » Alors, il alla chercher le moulin magique et dit Petit moulin, il faut me moudre de belles planches et les moudre bien vite. » Et le moulin se mit Ă  moudre les planches sous les yeux Ă©merveillĂ©s du capitaine. Le lendemain matin, le capitaine vint rĂ©cupĂ©rer les planches et pendant que le bĂ»cheron avait le dos tournĂ©, il vola le moulin et courut jusqu’à son bateau. DĂšs qu’il fut en mer, le capitaine appela les matelots Allez chercher les tonneaux de sel, nous allons les remplir ! » Puis il prit le petit moulin et lui dit Petit moulin, il faut me moudre du sel et le moudre bien vite. » Et le moulin se mit Ă  moudre, Ă  moudre du sel, du beau sel blanc tout en poudre fine. Quand les tonneaux furent pleins, le capitaine lui dit En voilĂ  assez, petit moulin, nous avons de quoi saler toutes les morues et tous les harengs que nous pĂȘcherons. » Mais le moulin continuait de moudre du beau sel blanc tout en poudre fine. Et le sel s’amassait sur le pont du bateau. Assez, criait le capitaine furieux, assez ! » Mais le moulin ne voulait rien savoir. Et le sel commençait Ă  remplir les cales du bateau. A la fin, comme le bateau trop chargĂ© allait couler, le capitaine prit le moulin et le jeta par-dessus bord. Le moulin tomba au fond de la mer. Et le moulin continua Ă  moudre du beau sel blanc tout en poudre fine
 C’est depuis ce jour, que l’eau de la mer est salĂ©e. Conte chinois PourrĂ©partir cette puissance sur une grande surface, il faut un bon conducteur Ă©lectrique, ce que l’eau (mĂȘme salĂ©e) n’est pas. L’eau de mer a une rĂ©sistivitĂ© d’environ 20 Ωcm, alors que celle du cuivre est environ 100 milliards de fois plus faible. Autrement dit, l’eau distribue trĂšs mal l’électricitĂ© : l’effet joule PubliĂ© le 13 aoĂ»t 2022 Ă  19h24 ArrivĂ©e en fin de semaine Ă  Guingamp, GaĂ«tan Courtet a dĂ©jĂ  jouĂ© ses premiĂšres minutes. Photo Nicolas Creach Le nĂ©o-Guingampais GaĂ«tan Courtet a disputĂ© ses premiĂšres minutes avec son nouveau club, ce samedi, face au Paris FC. Il raconte ses derniers jours mouvementĂ©s. À l’occasion de la troisiĂšme journĂ©e de Ligue 2, En Avant Guingamp, leader du championnat, recevait le Paris FC. Une rencontre soldĂ©e par un match nul mais qui a permis au public de dĂ©couvrir son nouvel attaquant GaĂ«tan vous sentez-vous aprĂšs cette premiĂšre apparition sous le maillot de Guingamp ?FrustrĂ©. Un peu Ă©nervĂ© parce qu’on mĂ©ritait forcĂ©ment mieux. Personnellement, c’est compliquĂ© de se mettre au diapason. Je suis arrivĂ© tard dans la semaine et je n’ai fait qu’un entraĂźnement avec l’équipe. J’étais un peu perdu quand je suis rentrĂ© sur le terrain. Il va falloir que je bosse pour rattraper mon retard sur le a quand mĂȘme senti beaucoup d’enthousiasme de votre part
J’avais trĂšs envie de jouer. J’ai mis beaucoup de temps Ă  toucher mon premier ballon et je n’ai pas rĂ©ussi Ă  me mettre dans le match. Je manque encore d’automatismes, donc j’ai eu du mal Ă  jouer les coups et Ă  trouver mes coĂ©quipiers. Il faut aussi que je m’adapte Ă  un nouveau club. Personnellement je ne suis pas trĂšs content de cette rentrĂ©e mais collectivement c’est un bon point de pris. On continue Ă  avancer donc c’est le plus nous raconter votre arrivĂ©e ?Tout a Ă©tĂ© trĂšs rapide. En deux jours, il a fallu que je vienne Ă  Guingamp depuis la Corse. Ensuite il a fallu enchaĂźner trĂšs rapidement pour prendre mes marques Ă  l’entraĂźnement. Il y avait aussi le cĂŽtĂ© administratif pour ĂȘtre qualifiĂ© pour la rencontre d’aujourd’hui. Maintenant il va surtout falloir que je me repose parce que la semaine a Ă©tĂ© trĂšs le club vous a attirĂ© ?C’est un club avec une histoire, des trophĂ©es et une participation en coupe d’Europe. Pour moi, c’est un club qui n’a pas sa place en Ligue 2. Ici, il y a tout ce qu’il faut pour ĂȘtre dans l’élite. Certes il y a eu une descente et il faut l’encaisser, ce n’est jamais simple. Mais on voit que le club Ă  envie d’avancer et de jouer le haut de tableau. Maintenant il faut profiter de cet engouement pour essayer de s’offrir un beau cadeau en fin de saison. C’est un club qui mĂ©rite d’ĂȘtre plus haut mais c’est du avez Ă©tĂ© acclamĂ© Ă  plusieurs reprises par le public, qu’avez-vous ressenti Ă  ce moment-lĂ  ?Je les remercie pour l’accueil, c’était trĂšs sympa et je vais essayer de leur rendre au maximum. Quand on arrive dans une nouvelle Ă©quipe c’est important d’avoir les supporters derriĂšre soi dĂšs le dĂ©but. J’aurais aimĂ© les enflammer encore un peu plus. Je n’ai pas pu le faire aujourd’hui mais ça arrivera l’actu d’En Avant Guingamp Titouan David Sisi vous avez bien lu! - The Beer Lantern. Une biĂšre Bretonne Ă  l’eau de mer, la Mor Braz! Si si vous avez bien lu! Bon, on va rester un peu au pays aujourd’hui et visiter notre belle rĂ©gion Bretonne avec une Mor Braz, alias « la biĂšre du grand large » ! La biĂšre est brassĂ©e par la brasserie Ă©ponyme, le mot Mor Braz signifie
Ce conte connait plusieurs versions, dont voici la version bretonne
 !!! Avez-vous jamais goĂ»tĂ© l’eau de mer ? Pouah, que c’est salĂ© ! Et pourtant des milliers et des milliers de poissons, de coquillages, de crustacĂ©s et bien d’autres plantes et animaux ne peuvent vivre que dans l’eau des ocĂ©ans et des mers, et dans la mer parce qu’elle est salĂ©e. Mais au fait, savez-vous pourquoi la mer est salĂ©e ? Voici ce que m’a expliquĂ© un vieux pĂȘcheur de Concarneau, et vous savez que les vieux pĂȘcheurs, surtout ceux de Concarneau, ne mentent jamais 
 surtout Ă  chaque fois qu’ils disent la vĂ©ritĂ© 
 ! C’était il y a si longtemps que le grand-pĂšre de mon grand-pĂšre n’était pas encore nĂ©. Le sable du Cabellou Ă©tait encore rocher et les paysans de Lanriec venaient en charrette aux GlĂ©nans pour y faire le ramassage du goĂ©mon. En ce temps-lĂ , le rivage de la mer se trouvait tout lĂ -bas Ă  la ligne d’horizon et, chose encore plus curieuse, l’eau de la mer
 n’était pas salĂ©e ! Les pĂȘcheurs en rapportaient carpes et goujons, truites et brochets, mais jamais la moindre sardine, jamais le plus petit merluchon. Le pĂšre PĂ©lage Ă©tait le plus ancien marin de TrĂ©vignon. Il Ă©tait venu au monde, il y avait si longtemps qu’il ne savait plus lui-mĂȘme son Ăąge. Il aurait eu plus de deux cents ans quand j’ai fait ma premiĂšre marĂ©e. Son bateau Ă©tait pour le moins aussi vieux que lui. C’est vrai que sa barque n’inspirait guĂšre confiance. Entre les bordĂ©s disjoints, l’eau filtrait insidieusement. PĂ©lage ne semblait pas en faire cas. On le voyait seulement, lorsqu’il jugeait que l’esquif s’enfonçait trop, dĂ©chausser l’un de ses sabots en guise d’écope et jeter par-dessus bord juste assez d’eau pour ne pas aller par le fond avant d’atteindre le port. Avec son unique casier couvert d’algues vertes, ce n’est pas lui qui risquait de dĂ©vaster les fonds. Il rapportait chaque jour exactement de quoi faire une fricassĂ©e ou une soupe parfumĂ©e. Vivant seul depuis bien longtemps, cela lui suffisait et jamais on ne l’avait entendu se plaindre. Les jeunes le taquinaient parfois – Alors, PĂ©lage, trois anguilles seulement ? Un bon pĂȘcheur comme toi, si tu voulais embarquer avec nous, avec des filets neufs tu ferais fortune ! » PĂ©lage se contentait de lever la main en souriant. Ce soir-lĂ , il hissait Ă  bord son orin ancre et chaine sur la ligne de mouillage, comme Ă  l’accoutumĂ©e, lorsqu’il vit s’agiter au fond du casier une Ă©trange crĂ©ature ce n’était ni un poisson, ni une Ă©crevisse comme il l’espĂ©rait mais une sorte de paquets d’algues d’oĂč Ă©mergeaient de minuscules bras et une tĂȘte de toute sa vie, il n’avait vu chose pareille. Avec prĂ©caution, il la sortit de sa prison, la dĂ©barrassa des algues qui l’entravaient. Il dĂ©couvrit alors une espĂšce de petit homme, grand comme la main et dont les jambes auraient Ă©tĂ© remplacĂ©es par une queue de poisson d’un vert fluorescent. Le curieux petit ĂȘtre s’agitait entre les doigts du pĂȘcheur. En l’examinant de plus prĂšs, PĂ©lage s’aperçut qu’il remuait les lĂšvres comme s’il parlait mais le claquement de la voie empĂȘchait d’entendre si, rĂ©ellement, des sons sortaient de cette bouche en miniature. Pour en avoir le cƓur net, il affala la voile, s’assit sur le banc de nage et approcha de son oreille sa bizarre capture. Ce drĂŽle de petit homme-poisson parlait ! D’une voix Ă  peine audible, certes, mais il parlait – S’il te plaĂźt, PĂ©lage, rejette-moi Ă  la mer. Que pourrais-tu faire de moi ? Je suis le roi des ondins. Mon peuple et moi vivons au fond de la mer et c’est nous qui accrochons les poissons dans les filets des pĂȘcheurs. Je m’apprĂȘtais justement Ă  dĂ©poser une carpe dans ton casier quand tu l’as relevĂ© et je suis restĂ© pris au piĂšge. Si tu me relĂąches, je te rĂ©compenserai, car notre pouvoir est trĂšs grand. » Aussi Ă©berluĂ© qu’amusĂ©, PĂ©lage ne rĂ©flĂ©chit pas longtemps ce gros coquillage qui restait au fond du casier suffirait bien Ă  son repas du soir. Se penchant au-dessus de l’eau, il y dĂ©posa dĂ©licatement le petit ondin. Celui-ci plongea comme un Ă©clair puis rĂ©apparut aussitĂŽt. Sa voix Ă©tait cette fois, beaucoup plus forte – Merci, vieux PĂ©lage, merci de m’avoir libĂ©rĂ©. Pour te remercier, garde bien ce coquillage que tu as pĂȘchĂ©, car il est magique. Chaque fois que tu dĂ©sireras quelque chose, dis exactement – Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-mĂȘme et tourne ceci en mes mains ». Pour l’arrĂȘter, il suffira de lui dire – Petit coquillage des ondins, arrĂȘte ton moulin. Repose-toi jusqu’à demain ! Surtout n’oublie pas ces formules, sinon le coquillage ne t’obĂ©irait plus.» Et dans un remous turquoise, le petit ondin disparu. En dĂ©barquant sur les rochers de TrĂ©vignon, PĂ©lage fredonnait. Cette aventure hors du commun l’avait mis de bonne humeur mais, comme il lui arrivait de s’assoupir dans sa barque, il n’était pas sĂ»r, au fond, de n’avoir pas rĂȘvĂ© toute cette histoire. A suivre 
 Une bĂȘte Ă  corne nĂ©e un 13 AVRIL 1952 Maman et MĂšre-Grand...! Vous trouverez ici humour de bon matin, sagas historiques sur ma Bretagne, des contes et lĂ©gendes, des nouvelles et poĂšmes, de trĂšs belles photographies de paysages et d’animaux, de la musique une petite prĂ©fĂ©rence pour la musique celte, des articles culturels, et de temps en temps quelques coups de gueules...! Tous droits rĂ©servĂ©s © Afficher tous les articles par ZAZA-RAMBETTE
Cest un grand cap qui s’avance dans la mer, une Ă©tendue verdoyante oĂč fleurissent les bruyĂšres. Quand on emprunte le petit chemin qui mĂšne Ă  son Ok. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus. Marche romane LittĂ©rature, lectures et
L’ocĂ©an a quelque chose de magnĂ©tique, d’enivrant, de mystĂ©rieux. Quand on est nĂ© prĂšs de la mer, il est parfois difficile voire impossible de vivre sans. Le lien qui nous lie Ă  elle est aussi complexe que profond. Dans ce nouvel Ă©pisode du podcast, je vous emmĂšne en voyage en Bretagne, le temps d’une Ă©chappĂ©e salĂ©e, en terre et mer. Un podcast Ă  la rencontre de l’ocĂ©an Au dĂ©tour d’une escapade Ă  travers le FinistĂšre et le Morbihan, j’ai demandĂ© Ă  4 jeunes bretons de me raconter leur histoire avec l’ocĂ©an, avec la Bretagne, avec cette culture si particuliĂšre. Ils s’appellent Lola, Lili, Sebastien et GrĂ©gory. Ils sont nĂ©s en Bretagne ou y ont Ă©migrĂ© par choix, parfois mĂȘme par nĂ©cessitĂ©. Comme un besoin de revenir aux sources, de boucler la boucle, de crĂ©er sa propre histoire. Ils ont acceptĂ© de partager avec moi leur regard sur cette rĂ©gion et de me raconter la relation si spĂ©ciale qu’ils entretiennent avec l’ocĂ©an. Ce podcast de voyage en Bretagne, entre FinistĂšre et Morbihan, dresse un portrait intime de la jeunesse bretonne et vient nous interroger sur notre histoire avec la mer. 4 portraits bretons Lili Lili a passĂ© toute son enfance au bord de la mer. Son pĂšre Ă©tait gardien de phare, et trĂšs jeune, elle a Ă©migrĂ© en Corse sur les conseils des mĂ©decins qui recommandaient le climat mĂ©diterranĂ©en, pour amĂ©liorer sa santĂ© fragile. TrĂšs vite, son pĂšre a eu le mal du pays et a cherchĂ© Ă  se rapprocher, annĂ©e aprĂšs annĂ©e, de la Bretagne. Aujourd’hui, c’est Lili qui, dans la ville de Lorient, s’enracine Ă  nouveau dans sa rĂ©gion natale, qu’elle avait quittĂ©e enfant. DĂ©couvrez les Ă©chappĂ©es bretonnes de Lili sur son blog Des voyages et du glaz Photographie by Lili & Des Voyages et du Glaz © Tous droits rĂ©servĂ©s – Utilisation et reproduction interdite Lola et SĂ©bastien Lola et SĂ©bastien forment un couple dans la vie et au travail. Ils sont tous deux photographes, passionnĂ©s par l’ocĂ©an et surtout amoureux du FinistĂšre. Ils aiment les grands espaces, la solitude et la contemplation. Je suis allĂ© Ă  leur rencontre Ă  la pointe de la Torche, un lieu Ă  part en Bretagne, assez loin des clichĂ©s mais tellement sauvage. DĂ©couvrez le blog et les photographies de Lola et Seb sur leur blog Freelensers. Photographie by Lola & Seb – Freelensers © Tous droits rĂ©servĂ©s – Utilisation et reproduction interdite GrĂ©gory Enfin, ce podcast breton a Ă©tĂ© l’occasion de rencontrer GrĂ©gory, un jeune photographe et vidĂ©aste passionnĂ© de kite surf et de surf. Cet ancien militaire a choisi de se reconvertir pour vivre de sa passion pour les images et les activitĂ©s outdoor, mais aussi pour expĂ©rimenter la vanlife en famille. Aujourd’hui installĂ© Ă  Brest, Gregory me parlera de son enfance, de sa relation avec la Bretagne et de son lien avec Éric Tabarly. DĂ©couvrez les vidĂ©os et les photos de GrĂ©gory sur son blog. Photographie by Gregory Mignard © Tous droits rĂ©servĂ©s – Utilisation et reproduction interdite La playlist du podcast Jesse Gallagher – Maestro Tlakaelel Twin Musicom – Precipice Artwork by Boris Abel © Tous droits rĂ©servĂ©s – Utilisation et reproduction interdite Mes instants bretons ne s’arrĂȘtent pas lĂ . DĂšs la semaine prochaine, vous retrouverez Lola, Lili, Sebastien et GrĂ©gory, toujours en Bretagne, toujours en bord de mer. Nous ferons le grand plongeon pour aller observer les marĂ©es, Ă©couter les vagues chanter, prendre un bateau, et mĂȘme, pourquoi pas, nous jeter Ă  l’eau. Ecouter le deuxiĂšme Ă©pisode de cette sĂ©rie bretonne. Tu aimes ce podcast ? Alors n’hĂ©site pas Ă  la faire savoir autour de toi en partageant l’info. Et surtout, abonne-toi Ă  La France Baladeuse et laisse un avis et des Ă©toiles sur ta plateforme d’écoute favorite. Tu peux aussi partager l’épisode en Story via Spotify ou en faisant une capture d’écran de ton app favorite. N’oublie pas de me tagguer pour que je repartage ton post ! Merci 🙂 Xe3g.
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  • conte breton pourquoi la mer est salĂ©e